Quelles sont les maladies de l’enfance ?
Plan de l'article
- « Ils m’ont dit de faire une croix sur le sport »
- Comment avez-vous su que vous aviez la sclérose ?
- Mais ça ne t’a pas empêché pour construire une belle carrière sportive plus tard et même participer à la Jeux Olympiques de 2012…
- Pensez-vous que votre maladie affecte sur votre carrière ?
- Comment faire l’expérience de votre vie quotidienne avec MS ?
- Vous parlez beaucoup de votre maladie ?
- C’ est aussi pour ça que vous sont devenus des navires à Waterloo ?
« Ils m’ont dit de faire une croix sur le sport »
En tant que joueur de hockey professionnel et navire à Waterloo, Aisling D’Hooghe a une vie dynamique. Cette femme de 25 ans, qui a reçu un diagnostic de SP à l’âge de six ans, a un message simple mais inspirant.
Texte : Maria-Laetitia Mattern —photos : Christophe Chaudières (Belga)
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Comment avez-vous su que vous aviez la sclérose ?
« On m’a diagnostiqué à l’âge de six ans. Un matin, je me suis réveillé avec une attaque : j’ai vu le double, j’ai perdu mon équilibre et je me suis baladé. Quand j’ai essayé d’aller chez mes parents, je suis tombé dans les escaliers. Ils m’ont emmené à l’hôpital. Parce que j’étais si jeune, les médecins ne pouvaient pas imaginer que j’avais la maladie. »
« Il m’a fallu du temps pour obtenir le diagnostic. Beaucoup de tests ont été effectués, mais finalement une IRM a apporté la clarté : la sclérose en plaques. »
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Mais ça ne t’a pas empêché pour construire une belle carrière sportive plus tard et même participer à la Jeux Olympiques de 2012…
« Oui, je ne m’attendais pas à ça ! Les connaissances sur la SP ont énormément évolué : il y a 19 ans, la SP était équivalente à vivre avec un handicap. Les médecins ont dit que je ne pourrais pas faire du sport très longtemps… »
« Mais avec mes parents, j’ai fait le contraire : au lieu d’arrêter le sport, ils m’ont dit de tout retirer aussi longtemps que possible. Après un certain temps, ma maladie n’était plus un point : je pouvais faire la même chose que n’importe qui… même jouer au hockey au plus haut niveau de Belgique ! »
« Mon traitement a énormément évolué. Dans mon enfance, j’ai reçu des injections tous les matins, vers l’âge de dix-huit ans, j’ai commencé à prendre une pilule tous les jours, et maintenant tous les six mois, je reçois un goutte à goutte. »
Pensez-vous que votre maladie affecte sur votre carrière ?
« Le fait que ma carrière sportive ne soit pas si longue durerait, toujours accroché à l’arrière de ma tête. C’est pour ça que je me suis complètement donné. C’est peut-être pour ça que je pourrais aller aussi loin. Je n’ai pas eu ma carrière pour grâce à MS, mais il m’a certainement rendu mentalement plus fort Je suis. »
Comment faire l’expérience de votre vie quotidienne avec MS ?
« Depuis que j’avais six ans, j’ai eu quelques attaques, mais j’ai toujours eu de la chance de ne rien laisser. Mon traitement a également évolué. Dans mon enfance, on m’a administré des injections tous les matins, vers l’âge de dix-huit ans, j’ai commencé à prendre une pilule tous les jours, et maintenant je reçois une infusion tous les six mois. Je suis peut-être à l’hôpital pour une journée entière, mais ce n’est que deux fois par an. Pour être honnête, ma maladie est presque absente dans ma vie le reste du temps. »
Un jour, après un contester une fille pour me demander un autographe. Elle a dit que le hockey était son sport préféré, mais elle a dû arrêter de jouer parce qu’elle était malade. C’est là que j’ai décidé de mettre mon histoire dans les médias.
Vous parlez beaucoup de votre maladie ?
« Je n’en ai pas parlé dans les médias depuis longtemps parce que j’avais peur qu’ils recherchent la sensation. Beaucoup de patients atteints de sclérose en plaques n’ont pas la même vie que moi, parce que tout le monde réagit différemment à la maladie. »
« Mais un jour, après un match, une fille est venue me demander un autographe. Elle a dit que le hockey était son sport préféré, mais elle a dû arrêter de jouer parce qu’elle était malade. Les médecins lui avaient dit qu’elle ne serait pas en mesure de faire du sport longtemps. Son histoire m’a touchée parce que je me suis reconnu en elle. Je me suis dit : « Si mon témoignage peut aider cette fille ou inspirer quelqu’un, j’aimerais partager mon histoire. » C’est pourquoi j’ai accepté certaines entrevues, tant qu’ils respectaient le message que je voulais transmettre. »
« Non, j’ai décidé de devenir des navires parce que je suis né à Waterloo , j’y ai étudié, je sors et j’y vis. Je suis très attaché à la municipalité. Je ne suis pas un politicien à coeur, mais au niveau municipal, je peux sont proches de la population et prennent des mesures concrètes. J’aime ça. Juste Comme au hockey, chaque navire ici a ses forces. Ensemble, nous formons une équipe proche qui veut soutenir la municipalité ! »